Solitaire ~ Bernard Ashley

Bonjour à tous, après une longue période d'absence (Bac de Français oblige) je reviens sur le blog pour vous parler de ma première lecture de l'été : Solitaire de Bernard Ashley.

Le résumé :

Un jeune garçon se réveille sur une île déserte, perdue au milieu de nulle part. Terrifié, il tente de renouer les fils de son histoire. Qui est-il ? D'où vient-il ? Comment a-t-il atterri là ? Ses souvenirs se dérobent et son passé reste un mystère. Désormais, il n'a plus qu'une idée en tête : survivre.

A Londres, un homme, riche et puissant, est persuadé que son petit-fils, disparu en mer, est toujours vivant. Prêt à remuer ciel et terre pour le retrouver, il ne néglige aucune piste. L'une d'elle le mène à un îlot rocheux perdu dans l'océan indien, nommé Solitaire.

C'est le début d'une aventure qui les changera à jamais.

Mon avis :

En me promenant à la Mare aux Diables (ma librairie fétiche), j'ai découvert ce roman qui se trouvait en vitrine. Le résumé et la couverture m'ont beaucoup attirée, ce qui m'a poussée à l'achat.

Dès le début j'ai adoré l'ambiance dans les premières lignes. Un bateau de croisière de luxe où les personnages sont spectateurs de la violence de la guerre où tout allait "bien" jusqu'au jour où un hélicoptère frappa le bateau, entraînant des pertes humaines et matérielles : l'un des disparus devient le héros principal : Joseph.

Le roman est construit en deux parties. La première décrit la vie de Joseph sur son île. Les détails de la narration m'ont beaucoup plu. Nous évoluons au rythme de Joseph avec l'impression de vivre comme lui. Quant à la seconde partie, elle se déroule en Angleterre mais je ne vous en dirai pas plus car il faut le lire car c'est la partie qui nous donne la clé de cette intrigue.

En conclusion, Solitaire est un très bon livre, mais qui ne m'a pas entièrement convaincue car il est un peu trop surréaliste à mon goût car je me demande encore comment un bateau de croisière peut se retrouver dans un champ de bataille.

Ma note :

12/20, un bon livre mais sans plus